Cathédrale

Poursuivant notre pérégrination dans la deuxième ville de France nous visitons la Cathédrale romano-byzantine de la Major.

Cette imposante bâtisse à rayures implantée près de la mer se révèle majestueuse depuis la vaste esplanade qui la précède. C’est la fin de la journée, un soleil radieux l’éclaire magnifiquement par l’Ouest.

 

Je n’en retracerai pas l’historique mais je  sélectionnerai seulement quelques lieux remarquables.

La décoration intérieure de la basilique est en marbre de porphyre,

tandis que le sol revêt une mosaïque bellement travaillée.

 Une coupole octogonale nous fait lever la tête vers les cieux.

Autel du choeur qu’éclaire une lumière venant de l’Ouest.

  Nos pauvres têtes surplombées par cette coupole à huit pans, se sentent soudain élevées vers plus haut qu’elles.

 Personne ne déambule dans les allées latérales, la cathédrale est quasiment vide, un gardien cependant veille à ce qu’aucun visiteur ne saccage les lieux.

Bref recueillement à la chapelle du Saint Sacrement.

Rien à dire ?

Ce » commerce humano-divin » sera gardé secret.

La figure et l’oeuvre d’Eugène de Mazenod sont attachées à la ville de Marseille.

Il a  été canonisé par Jean-Paul II en 1995.

C’est le fondateur des Oblats de Marie Immaculée.

Il décida de la construction de la cathédrale.

« Ne pas toucher l’instrument. »

 Impossible de jouer ne serait-ce que quelques notes à la Gloire du Très-Haut.

Baptistère finement pensé, joliment décoré.

En sortant de la cathédrale l’imposante silhouette d’un ferry en partance pour des terres lointaines nous invite à monter à bord.

Si on changeait de continent ?

Naturellement si vous considérez que mes explications  sont trop succinctes je vous renvoie au lien suivant pour de plus amples détails.

http://marseille.tv/tourisme/cathedrale-la-major/

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