Brut
28 juillet 2012 5 commentaires
Je me tais.
Il se tire.
Elle se tord.
Et le mord.
Y a en marre.
De ces tares.
Elle se barre.
Près du bord.
Plein de bourre.
Sur sa bure.
Et sa tiare.
Tombe à terre.
dessinsfa#________
28 juillet 2012 5 commentaires
Je me tais.
Il se tire.
Elle se tord.
Et le mord.
Y a en marre.
De ces tares.
Elle se barre.
Près du bord.
Plein de bourre.
Sur sa bure.
Et sa tiare.
Tombe à terre.
dessinsfa#________
mda : Je m’amuse bien à faire cette poésie, d’autant plus que l’on peut tout imaginer.
j’aime cette poésie!
Quelques sixtes et des quintes et autres écarts, seront ad-mi-s par intervalles ! Je tope pour la poly-phonie des polis-so(nt) et des polis son(nent ) : l’art brut du tintamarre !!!!!!!!
Polis et flambe haut !
Un programme « legato » sans dopage pas tiédasse tout en tierces.
Tope-là, la toquée !
Jeu de mots et d’anneaux, une autre façon de porter le flambeau, olympique ou épique, avec les tares et les tiares de nos plis et nos replis, coins et recoins, lisières claires-obscures, multiples et infinies. Art brut, je vous dis, à polir toute la vie !